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henri georges craven
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nom : craven prénom : henri, georges date et lieu de naissance : henri est né un 12 décembre à Édimbourg age : 26 ans occupation : lobbyiste statut financier : ££££££ situation amoureuse : Violet Hennington hante ses nuits. Il ne l'admet pas vraiment, fait mine de ne pas trop être attaché à elle, mais en réalité, il rêve du moment où elle lui annoncera qu'elle est toute disposée à lui appartenir. Pour l'instant, Violet est fiancée à un type qui est parti travailler à l'étranger. Henri n'est que son amant et elle ne semble pas vraiment prendre leur relation au sérieux. Il est cela dit tout à fait déterminé à lui faire oublier celui qui lui a mis la bague au doigt. traits de personnalité : intelligent, intuitif, impulsif, téméraire, cupide, cynique, hautain, joueur, leader, insolent, possessif, pragmatique, bosseur, ambitieux, il aime avoir raison et être le premier, sociable, loyal, mais fidélité discutable, sait-être un véritable gentleman, séduisant, légèrement calculateur crédits tumblr.groupe : upper class.

II. CARPE SOME FUCKING DIEM
Henri Georges Craven, fils du comte Robert Craven dans le comté de York. ◈ C'est sa gouvernante Thérèse qui l'a élevé bien plus que sa propre mère, elle lui a enseigné les bonnes manières dés son plus jeune âge, le solfège et la poésie (elle adorait les poètes français). ◈ Il est entré à Eton à l'âge de treize ans. Il était un élève plutôt distrait mais brillant. ◈ Il a fait sa classe préparatoire à Eton également avant d'entrer à l'Université d'Oxford pour étudier l'économie et les relations internationales. ◈ Après avoir validé un master en relations internationales et souhaitant monter dans la vie politique britannique, il est d'abord entré au parlement comme conseiller avant de passer au poste de lobbyiste. ◈ Il a développé au cours des années un affreux penchant pour le jeu, il dépense des sommes folles au poker et en paris sportifs de tout genre. Heureusement pour lui, rares sont les fois où il perd. ◈ Il espère pouvoir se faire une place importante en politique, son but ultime ? 10 Downing Street. ◈ Il apprécie certaines idées des Libéraux Démocrates mais se place plutôt du côté des Conservateurs. Non-seulement parce qu'il est un capitaliste converti mais surtout parce que la droite l'emporte la plupart du temps. Parce que vous pensiez encore que la politique était une histoire d'idéaux ? ◈ Il joue au tennis depuis l'âge de 14 ans, il n'est pas le meilleur joueur de l'histoire du tennis mais il est combatif et plutôt fourbe. Il déteste perdre. ◈ Il a beaucoup voyagé jusqu'à aujourd'hui mais sa destination préférée reste les montagnes Alpines et Canadiennes. Il adore les semaines à skier et à profiter des paysages sublimes de l'hiver en buvant du chocolat chaud. Il n'y a pas une année sans qu'il n'y soit allé. ◈

pseudo : la sainte-vierge âge : 21 ans où avez-vous connu le forum ? bazzart commentaires : écrire ici avatar : sam claflin

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III. PEOPLE LIKE US DON'T MAKE MISTAKES.

Le clan Craven, l'histoire d'une dynastie. Toute mon enfance, j'avais appris que porter un nom comme le mien n'était pas sans contrainte et responsabilités. J'avais bénéficié d'une des meilleures éducation possible en ce monde, ma place à Eton avait été réservée dés ma naissance et il était clair qu'on attendait beaucoup de moi. J'étais le premier fils. L'héritier du titre et de tout ce qui allait avec. J'avais été élevé par une certaine Thérèse, une femme qui avait la trentaine lorsqu'elle avait commencé à s'occuper de moi alors que j'étais à peine né et bien que les années avaient passé, je n'avais vu aucun signe de vieillesse creuser son visage. Elle restait toujours la même. Thérèse était douce et stricte à la fois, elle mettait un point d'honneur à ce que je devienne un chic type, un gentleman, un homme bien, et elle avait passé des heures à m'inculquer les règles de la bienséance et de la politesse. Elle insistait toujours sur la façon dont il fallait que je traite les femmes. Avec respect et humilité. Elle ne prenait que rarement mon père en exemple et semblait plus lui vouer un mépris sans nom, lui qui s'imposait toujours où qu'il aille, avec ses grands airs, ses regards équivoques et son ton hautain. Je me rappelle d'une fois où je lui ai demandé pourquoi elle le détestait, et la réaction de Thérèse m'intrigua. Elle se mit à rougir et à secouer la tête, elle marmonna quelques mots à peine audibles avant de se reprendre. " Ton père est un homme respectable mais il le sait un peu trop, " se contenta-t-elle de me dire pour toute justification.
C'est lorsque je les ai surpris en pleine séance de batifolage à moitié habillés que j'ai compris.
Thérèse ne détestait pas mon père. Au contraire. Elle l'aimait d'un amour inconditionnel et douloureux. Un amour à sens unique parce qu'il n'était pas capable de lui rendre la pareille si ce n'était en lui accordant ici ou là le peu d'attention qu'il ne dirigeait pas sur sa propre personne. J'avais observé quelques secondes en silence dans l’entrebâillement de la porte et je m'étais finalement éloigné pour jouer dans le jardin. A aucun moment je n'avais pensé à ma mère. Au contraire. Thérèse comptait tellement plus pour moi qu'il m'aurait été tout à fait plaisant de la voir devenir ma belle-mère. Mais je l'ai appris avec le temps, jamais mon père n'aurait divorcé pour la gouvernante, pour la simple et bonne raison qu'elle était ce qu'elle était : une simple et vulgaire gouvernante.
Ma mère n'eut jamais vent de cette infidélité je crois, ou peut-être le savait-elle et se contentait-elle de la tolérer. A bien y réfléchir, Thérèse n'était probablement pas la seule maîtresse de mon père, il était si peu présent qu'il était fort probable qu'il partagea de son temps loin du foyer familial avec d'autres femmes. Ma mère elle, n'avait pas été équipé d'une quelconque fibre maternelle, elle passait ses journées dans le manoir dans lequel nous vivions, se contentant de donner des ordres aux domestiques, lire des livres et manger sous la véranda incroyable qu'elle avait faite construire sur un coup de tête.
J'avais six ans lorsqu'elle tomba à nouveau enceinte, ce fût une fille cette fois, et elle en fût ravie. Il était évident qu'elle avait attendu ce moment et que si ma personne ne l'intéressait que très peu, avoir une fille la ravissait. Lorsqu'elle donna naissance à ma soeur, Cecelia, elle devint une toute autre femme et je la découvris capable d'aimer. Elle passa des journées entières près du berceau de ma soeur, lui parlant, jouant avec elle, prenant soin d'elle. Elle renvoyait Thérèse lorsque celle-ci souhaitait l'aider, se sentant presque vexée par cet affront. Oui, elle était capable d'élever un enfant. Quand je me penchais au dessus du landau pour observer le têtard qui y dormait, ma mère m'observait d'un oeil curieux, comme si elle ne s'était pas attendu à ce que j'eus autant grandi, comme si elle redécouvrait mon existence. " Tu es le portrait craché de ton père " disait-elle toujours, presque avec une certaine tendresse, en venant ébouriffer mes cheveux blonds.
Cecelia et moi n'avons pas partagé beaucoup de chose, elle avait sept ans alors que je partais pour étudier à Eton, mais j'avais toujours eu pour elle une certaine affection. Pour le peu de temps que nous avions passé ensemble, je m'étais amusé à la malmener, en grand frère digne de ce nom j'avais adoré me battre avec elle dans l'herbe et lui apprendre à sauter de la balançoire. Je la revoyais généralement pendant les vacances mais mes retours au domaine familial s'espaçaient de plus en plus avec les années. Je préférais passer les vacances d'hiver dans les Alpes avec mes amis, et les vacances d'été dans le sud de la France, à Cancùn, ou en Australie.

Je ne voyais pas souvent mon père mais je savais que lorsqu'il demandait à me voir, il avait toujours quelque chose derrière la tête. Il adorait s'improviser grand mécène, et me donner des leçons de vie. Généralement, il profitait d'une après-midi à la chasse ou au club de tennis pour me faire part de ses pensées profondes. Nous nous étions indéniablement rapproché les années et j'étais peut-être devenu ce que ma mère craignait le plus : le portrait craché de mon père. Il était un homme ambitieux et quasiment insatiable, il estimait que lorsqu'on détenait autant de pouvoir que lui, nous, il était stupide de se contenter du minimum et qu'au contraire, il était important de TOUJOURS exiger le meilleur. Il admettait sans honte que certaines personnes étaient meilleures que d'autres. Il était un conservateur convaincu, élevé dans les règles de l'art, avec ses expressions pompeuses et pompantes, ses bonnes manières, ses sourires arrogants transpirant l'hypocrisie. Pourtant, il était souvent honnête avec moi. Je le sentais parce qu'il m'observait toujours avec une bienveillance paternaliste qui ne lui était pas habituelle. Il m'appréciait. J'étais son fils. Et il était prêt à tout pour moi. Je le savais.
Il m'enseigna que le mariage était une chose importante mais qu'il s'agissait bien moins d'une question d'amour que d'influence et de pouvoir. Selon lui les femmes étaient des créatures incroyables mais capables de vous ruiner un homme, il était donc important de les sélectionner avec soin. Une épouse parfaite était une épouse qui n'en demandait pas trop et qui présentait bien. Une maîtresse accomplie était une femme qui savait vous faire oublier votre épouse. Il ne fallait jamais associer les deux.
Lorsque je lui annonçai que je souhaitais me lancer dans une carrière dans la politique, il m'encouragea chaleureusement et me laissa bénéficier de son interminable liste de contacts. Sortant d'Oxford, j'étais d'ors et déjà une perle, mais mon nom me permettait de repousser les limites de ma propre ambition.
A plusieurs reprises, mon père émit l'idée de me présenter à des filles de bonnes familles, des épouses idéales, et je m'étonnais même de n'avoir pas encore été impliqué dans une folle histoire de mariage arrangé. Par chance, mon paternel préférait que je vive mes propres expériences avant de me lancer dans l'aventure suicidaire du mariage. Je ne pouvais que le remercier pour cela.
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La rédemption de l'amour par l'abandon total.
" Ecoute Henri, c'était une erreur, " dit-elle en captant son regard. Le blond leva les yeux au ciel, un sourire en coin ornant son visage victorieux et peu convaincu. Les mains dans les poches de son pantalon Barena Venezia, il s'approcha d'elle doucement. Après les mois qu'il avait passé à la courtiser il n'était absolument pas prêt à entendre ce qu'elle était sur le point de lui dire et il n'était pas décidé à la laisser s'envoler loin de lui. Elle avait fini par céder. La belle Violet Hennington, fruit de ses désirs depuis qu'il l'avait aperçu lors d'un dîner mondain, s'était finalement abandonnée dans ses bras. A la mine qu'elle affichait à présent, la sulfureuse Brune semblait regretter ses actes et vouloir oublier ce qu'il s'était passé. " Je suis fiancée, ça n'aurait jamais du arriver, tu le sais, ça ne se reproduira pas " ajouta-t-elle avec plus de conviction qu'il ne souhaitait le croire. Henri pinça les lèvres avant de sortir les mains de ses poches pour venir saisir délicatement celles de la jeune femme. " Peut-être que ça devait arriver ? " souffla-t-il à son oreille, sûr de lui. Violet s'écarta en secouant la tête, elle semblait déterminée à mettre fin à tout ça. " Laisse moi tranquille, tu as eu ce que tu voulais non ? Maintenant lâche-moi. Je n'aurais jamais du céder à tes avances. " Elle croisa les bras et lui indiqua du regard la porte de son appartement. Henri poussa un profond soupire en l'observant. " Ton copain est probablement entrain de s'envoyer en l'air avec un tas de prostituées thaïlandaises " lui dit-il en restant planté devant elle. Elle s'offusqua, se sentant insultée par les propos qu'il venait de prononcer. " Tu n'as aucun droit de dire ça, pour qui est-ce que tu te prends?
- Violet, soit lucide. Ça fait des mois qu'il est parti.
- Il revient bientôt. Et il n'est pas comme toi.
- Tu crois sérieusement qu'en six mois il n'a jamais été voir ailleurs ? Pitié...
- Ca ne justifie pas ce que j'ai fait. Je n'aurais jamais du coucher avec toi.
- Arrête de dire ça.
- C'est la vérité. Tu ne me mérites pas. "
Ils se fixèrent un moment avant qu'il ne s'esclaffe de rire. Il avait du mal à croire ce qu'elle venait de lui dire. Il ne la méritait pas ? Lui ? Henri Craven. Il était puissant, fortuné, travailleur et surtout, il la courtisait depuis des mois. Sans relâche.
" Je ne te mérite pas ? C'est ce que tu penses ?
- Exactement. Tu n'es qu'un arrogant et égocentrique fils à papa. Tu ne vois en moi qu'un énième challenge, tu as envie de te prouver que tu es capable de tout, ça t'excite que je sois avec quelqu'un, que je ne veuille pas de toi. Et bien mets toi ça en tête : tu ne gagneras pas. Maintenant, sort d'ici. "
Il contenait tant bien que mal sa colère, ses yeux s'étaient subitement assombris, il la trouvait énervante, il pensait qu'elle avait tort, elle ne voyait rien, elle était beaucoup trop aveuglée par le baratin de son fiancé, trop persuadée de son honnêteté à lui pour croire à celle de son prétendant. Henri tourna les talons pour se diriger vers la porte, il abaissa la poignée et releva une dernière fois les yeux vers elle avant de sortir. "Je regrette d'entendre des mots pareils sortir de ta bouche, " se contenta-t-il de lui dire.
Lorsqu'il quitta l'immeuble qu'elle habitait, sa colère n'était pas redescendue, au contraire, elle bouillonnait en lui, si près du point du rupture qu'il était capable de n'importe quoi. Ses pensées n'étaient pas claires et il n'était pas certain de ce qu'il devait faire pour se calmer. Il trouvait que c'était un comble, une ironie du sort trop mal placée. Elle était celle qui avait fait preuve d'infidélité, et elle osait l'insulter, tourner la situation pour se poser en victime, pauvre petite Violet Hennington, trop faible pour résister aux avances du manipulateur et prétentieux Henri Craven. Il se calma à cette pensée qui l'amusa quelque peu. Elle pouvait profiter de cet instant de répit, parce qu'elle pouvait lui reprocher bien des choses, lui trouver bien des défauts, mais le jeune homme était tout sauf un lâche et il n'était pas question qu'il abandonna sa cause.

Claflin est déjà tenté par une autre personne mais les avatars ne sont pas réservés donc à toi de voir si tu veux te lancer dans une compétition pour un avatar ou non. filthy. rich. spoilt. rotten. 1623235238

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Sinon je te souhaite bienvenue et bonne chance pour ta fiche filthy. rich. spoilt. rotten. 119976

et n'hésites pas si tu as la moindre question. Je n'ai pas d'idées de liens mais si tu désires un lien avec ma Oona ou mon dc (Fabian) ce sera avec plaisir filthy. rich. spoilt. rotten. 3184032373

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Sinon au niveau des liens, plusieurs personnes ne seraient surement pas contre un lien masculin dans l'aide à la création du personnage, si jamais cela peut te donner des idées de lien avec un futur membre filthy. rich. spoilt. rotten. 119976

edit : et je suis contente que tu n'aies pas résister filthy. rich. spoilt. rotten. 718381

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Ouais, je viens d'éplucher toutes les fiches et j'ai trouvé finalement le membre l'ayant tenté. Je vais encore réfléchir à si je le tente ou non !
En tout cas merci à toi belle brune, je suis allée voir les liens recherchés dans la partie invité et la plupart sont des liens amoureux sauf que ma dulcinée ne va pas tarder à arriver
Anyway, je me mets à ma fiche right now

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bienvenue ici toi filthy. rich. spoilt. rotten. 1623235238

Ah d'accord filthy. rich. spoilt. rotten. 831946

en tout cas si jamais ce site propose pas mal de têtes si ça peut t'aider filthy. rich. spoilt. rotten. 332748

SAAA(...)AAAM + le gif du riot club. filthy. rich. spoilt. rotten. 2714575156

bienvenue parmi nouuus. filthy. rich. spoilt. rotten. 1623235238

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Merci à toi :)
Bon ma partie histoire est presque terminée, ce sera fait d'ici ce soir

j'adore ce que j'ai lu pour le moment, je risque de venir te demander un lien avec Miles. filthy. rich. spoilt. rotten. 2714575156

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Risque toi, je t'accueillerai à bras ouverts filthy. rich. spoilt. rotten. 1858483499

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j'ai fini ça y est filthy. rich. spoilt. rotten. 246777443

merci à toi jolie fille.

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j'adore ta fiche et la relation avec Violet, j'ai hâte de vous lire, je crois que je vais shipper à mort What a Face

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Ah merci, Sybil.
Ils vont envoyer des étincelles

Vu que vous êtes deux Sam, ça sera donc à la meilleure fiche (sauf si vous arrivez à trouver un terrain d'entente). filthy. rich. spoilt. rotten. 1623235238

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Il y a un délai j'espère ? Parce qu'il n'a même pas commencé sa fiche et moi j'aimerais bien commencé à RP.

Je sais bien, mais malheureusement il faut que cela soit équitable pour tout le monde. D'autant plus que généralement si on vous dit de vous arranger entre vous, c'est bien pour éviter ce genre de situation. filthy. rich. spoilt. rotten. 1623235238

Quoi qu'il en soit, on en a discuté avec Oona hier soir justement, et si d'ici demain soir, il n'y a toujours rien et pas de nouvelles de l'autre membre, l'avatar te reviendra. Maintenant, tu peux toujours le contacter par mp pour essayer de négocier. filthy. rich. spoilt. rotten. 1209732462

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N'ayant pas eu de nouvelle de l'autre sam, je te valide filthy. rich. spoilt. rotten. 119976

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merciiiii.
filthy. rich. spoilt. rotten. 119976

» your daddy's rich and your mamma's good lookin'.